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Leur petit bruit de moustique au-dessus de nos têtes a de quoi agacer, on est d’accord. Leur manipulation est souvent trop compliquée. Leur prix a de quoi rebuter… Mais ce petit bijou technologique qui tient – réellement – dans le creux de la main pourrait changer l’image une bonne fois pour toutes sur les drones de loisir.
D’abord en raison de son prix (199 francs), qui lui permet de figurer en bonne position sur la prochaine wishlist. Mais surtout parce que ce Dji Neo est à mettre entre toutes les mains, même les plus inexpérimentées. La preuve? Il suffit de regarder le minitutoriel pour réussir des prises de vue que l’on pensait réservées à des réalisateurs hollywoodiens. On peut certes le piloter via son smartphone (jusqu’à 50 mètres de distance) ou une télécommande ad hoc (10 kilomètres! Mais l’accessoire est vendu à part), mais on adore les programmes préenregistrés: on le pose sur la main, un clic et le drone s’envole pour – à choix – suivre son sujet dans sa descente de luge, lui tourner autour tel un aigle, s’éloigner zénithalement… et j’en passe.
Des images en format 4K s’il vous plaît, que l’on peut télécharger sur son smartphone de manière intuitive, pour pouvoir ensuite monter notre petite séquence à destination, par exemple, d’Instagram. Son autonomie (dix-huit minutes, modèle de base) est certes réduite, mais cela permet de tourner tout de même pas mal de séquences. L’Oscar est à portée de main.