Le wingsurf est le nouveau sport de l'été, où l'on surfe sur une planche avec une voile totalement déconnectée, que l'on tient à bout de bras

Mettons-nous d’accord: je ne vous déconseille pas de régler votre crise de la quarantaine (ou de la cinquantaine ou de la trentaine…) en achetant cette Porsche qui vous fait les yeux doux depuis que vous avez 15 ans. Toutefois, si votre idée du fun va plus loin que poser votre fond de pantalon dans une voiture de sport, j’ai ce qu’il vous faut: le wingsurf.

La discipline est jeune, à peine trois ans, mais elle compte déjà ses stars, comme le Suisse Balz Müller qui, de son propre aveu, a passé « plus de temps sur l’eau que sur la terre ferme », tâtant de la planche à voile et du kite avec le même bonheur. Après s’être pris de passion pour le wingsurf, il est désormais testeur et codéveloppeur du fabricant zougois ENSIS.

Les sensations? C’est simple, le fait que la voile soit physiquement déconnectée de la planche (on la tient à bout de bras, sans filins, sans wishbone) libère les sensations sur l’eau comme jamais. La mer – ou le lac – est désormais une énorme place de jeu que l’on parcourt comme un albatros!

Le combo ENSIS Score, pour la voile, Rock’n’Roll, pour la planche, et Pacer 2000, pour le foil, est le garant de sensations grandioses. Bien sûr, sauter sur une planche munie d’un foil ne s’improvise pas et les grands débutants gagneront à se familiariser d’abord avec d’autres techniques de voile.

Et si tout ça vous semble – physiquement et sportivement – hors de portée, ENSIS possède tout de même ce qu’il vous faut: un paddle gonflable et une voile, qui assurent d’avoir de belles sensations, même lorsque le vent tutoie les 10 km/h seulement.

ENSIS Score + Rock’n’Roll 97 + Pacer 2000, le tout pour 5000 fr. environ.