L’entrepreneuse Babette Keller Liechti raconte le conte de fée qu’a représenté pour elle l’adoubement par la maison Christian Dior

Il est petit, mignon, doux et velu, il s’appelle Fluffy et, non, il n’est pas un animal de compagnie. Ce gant de démaquillage représente ce qui se fait de mieux dans le genre, avec sa fibre tricotée plutôt que tissée, conçue pour que chaque bouclette explore le visage humain dans toutes ses aspérités, et ce, en exquise délicatesse. Ce n’est pas parce qu’un objet relève de l’usage le plus humble, qu’il ne mérite pas la plus haute attention…

Voilà, depuis 1989, la conviction de l’entrepreneuse biennoise Babette Keller Liechti, laquelle s’est d’abord taillé une réputation d’excellence dans l’industrie horlogère, grâce à ses textiles en microfibre destinés à manipuler les montres sans les marquer d’empreintes digitales. Ses textiles à elle ne se content pas d’étaler les impuretés, ils les absorbent et les emprisonnent, les empêchant de se redéposer. La pétulante Babette a d’ailleurs été récompensée par le prix Veuve Clicquot de la femme d’affaires. Cette dernière décennie, ce savoir-faire développé en Corée par son entreprise s’est étendu au monde de la beauté. Dans son quotidien personnel, Babette Keller Liechti s’indignait chaque soir de l’absurdité des tonnes de rondelles en coton qui finissent à la poubelle, chargées de maquillage. Elle a donc cherché – et trouvé – une alternative en microfibre. Chacun de ses petits gants permet d’économiser 30’000 rondelles, puisque le petit accessoire blanc passe allégrement à la machine à laver et supporte sans broncher une eau à 90 degrés.

Sous le label commun Babette Switzerland, diverses variantes de tissage permettent par ailleurs de varier les textures, selon que l’on cherche un effet maxi douceur ou une légère pression abrasive pour exfolier la peau en un même mouvement. Le produit est si abouti qu’il fait, ces jours, son entrée en fanfare dans les spas de la Maison Christian Dior, ce qui équivaut à un oscar de la beauté. Un petit échantillon de l’esprit entrepreneurial suisse accède ainsi au firmament de la cosmétique mondiale. Le vrai luxe se cache dans les détails… 

«Mon premier contact avec le groupe LVMH secteur Cosmétique fut avec l’enseigne Sephora, qui après de nombreux tests sur nos produits et un audit chez mon partenaire Coréen, était convaincu de nos fibres révolutionnaires et uniques. Ils ont choisi le gant FluffyNude de notre gamme, s’adaptant à « Toutes les peaux & convenant à tous les âges » exfoliant et ultra doux à la fois.
J’étais heureuse et fière de savoir que notre petit dernier était plébiscité par cette grande chaîne de distribution. Mais dans mon fort intérieur je rêvais que mon petit gant Fluffy développé, à la base pour mon usage personnel, puisse servir la grande Maison Dior. Je l’ai en effet conçu aussi doux qu’une peluche pour me caresser la peau, aussi blanc et rond qu’un nuage, réversible et durable presque à l’infini pour pouvoir l’emporter partout et d’une efficacité redoutable pour me démaquiller d’un seul geste ou me nettoyer la peau en profondeur dans toutes les situations. Il avait toutes les qualités requises pour accompagner de ses fibres les produits cosmétiques les plus professionnels au monde : ceux de la maison Christian Dior Paris.


J’ai donc pris contact avec cette belle marque et j’ai été convié à présenter mon produit à Paris. Les résultats des nombreux tests ont été sans équivoque : deux de nos petits gants s’inscrivaient dans un rituel d’exception et d’excellence des soins des Dior Spas et dans une démarche de durabilité forte de la marque ont été sélectionné. Je n’oublierai jamais ces mots : «Bienvenue dans la belle famille Dior, Babette ! »

Tout au long du processus de développement avec la maison Christian Dior, j’ai été invité à plusieurs reprises à tester moi-même des soins sur mesure, ceux où mes petits gants accompagnent les produits de soins et les gestes professionnels Dior. Quel privilège ! J’ai eu accès aux trois spas exceptionnels que la marque de Luxe anime à Paris, à l’hôtel Cheval Blanc, au mythique l’hôtel Plazza Athénée et sur le bateau mouche aménagé en spa flottant, actif sur la Seine pendant une courte période estivale. J’ai vécu ces moments d’exceptions avec des émotions difficiles à transposer en mots, une sensation de bien-être et de confort extrême. Le sentiment, à chaque expérience, d’être aimée et seule au monde. Merci à cette grande maison de m’avoir ouvert ses portes et son cœur. »

babetteswitzerland.com, lingettes utilisées dans les spas Christian Dior. A acheter sur le site dès 16 fr. 90.